dernières trouvailles descendues du grenier (vers 1980)

petits poèmes en vers pilés

Le sourire aux lèvres,

Ne sachant trop quoi dire

Devant la porte close

De sueur et de fièvre

Il projette ses poings

Dans l’air lourd de senteurs

Près des lumières jaunes

Devient ventilateur.

L’entrée des artistes

Ne s’ouvre que

Pour les bons acteurs.

………

Un été sans moustiques c’est une mercière sans boutons.

 

Sous la porte cochère

Sommeille un phacochère.

Ses nerfs sont à bout, car il n’a plus de mère

Et que la vie est chère.

Mais ainsi sont les phacochères

Qui, cousins des cochons,

Finissent saucissons

(A l’aïl);

 

Rarement vous vîtes chanter chien si bien. C’était un chien chilien nourri de chili con carne, un bel animal aimant tango et bel Canto…

(conneries tapées sur ma petite Remington, vers 1980….déjà couillon!)

 

12 commentaires sur “dernières trouvailles descendues du grenier (vers 1980)

    • je pense que je vais rapidement vous retourner le compliment (malgré mon grand âge!), après avoir feuilleté de plus près votre site, qui semble receler plein de bons textes…

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