les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Très certainement l’idée de Dieu est le fléau des hommes
Comme le sera toujours celles que l’on nomme filles de joie
Mais tous n’ont pas la clairvoyance, la raison pure des murs
Les citadelles modernes s’entourent de périphériques
Comme jadis les murailles , murs de lamentations, huile bouillante
Versée depuis les mâchicoulis sur les envahisseurs barbares
Et cet homme qui maintenant rase ma barbe le rasoir à la main
Je ne me pose pas la question de qui il est, ni d’où il vient
Cet homme qui glisse sa courte faux sous mon menton ne ment pas
C’est un type comme moi, un archétype de ce que serait Dieu
S’il n’existait pas. Et quand le barbier fait passer son miroir
Derrière mes oreilles, encore présentes comme toujours, elles sifflent,
Et mettent en joie les filles qui tapinent sur le fil de l’horrible
Pendant que queues dressées les dieux se paient l’espoir des gueux
Prostituant non seulement femmes et argent, nombre enfants
Si ce vivre à genoux est l’espoir des hommes alors finissons-en !
30 01 2020
AK
J’ai même son autobiographie : La Vache enragée, dédicacée !
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Jacques BREL ! Serait-il impossible, de vivre, DEBOUT !
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debout (mais laissons les morts boulevard des allongés)
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Boulevard Ossements, comme le disait Léo MALET dans le titre d’un de ses Nestor BURMA.
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rhââ! Léo Malet et les mystères de Paris. Un régal! j’avais tout avalé en vitesse! Il faudrait que je les relise, mais la pile de bouquins en attente chez moi est plus haute que la tour Eiffel!. Bon, je blague, ils sont à 450 m au-dessus du niveau de la mer…sur ma table de chevet!
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