L’Italie est la mater dolorosa de l’Europe, avec ses tremblements de terre répétitifs et toujours aussi dévastateurs ( Frioul, Marches, Abruzzes, Emilie Romagne…). L’Aquila ne s’est pas redressée et Modène tombe à son tour. 400 000 meules de parmesan, le vinaigre balsamique, les vies humaines et les bâtiments détruits, une économie régionale qui s’effondre pour des années, et aura de graves conséquences sur le pays entier. C’est dans cette période malheureuse que deux artistes, Antonio Garullo et Mario Ottocento, exposent à Rome une oeuvre polémique, « le rêve des italiens », mettant en scène le célèbre ténor qui déclara voici trois ans, ( concernant le séisme des Abruzzes):
« les sinistrés du séisme italien doivent « prendre ça comme un week-end en camping ».
Beaucoup campent encore…
Quand je pense que j’ai tenu deux heures la pause alors que l’envie de te voler le crayon me tarabustait ! En plus, c’est même pas moi, c’est le voisin que tu as dessiné. Enfin, je pense. Le voisin, on ne le voit jamais.
Chinette :- » la voisine non plus, Chinou, j’te ferais dire ! »
Cessons là, ma Tendre, ma langue va tomber dans les spaghettis bolognaise.
André Frédérique étant entrain de rédiger son testament en sirotant quelques bouteilles de vin de Loire (en compagnie de Jean Carmet et de Géo L’Hoir), qu’il me soit permis, pour l’instant, de ne pas les encourager à écrire quelques turpitudes aux gens de la Cerce, « terre élue des ringards, province hantée par les cerceux, les cacoches, les vivantes ribondes. » Le Cerceux étant également, comme chacun sait, le « langage de la cerce toujours en état de gestation « la Cacoche est une Cerceuse préménopausique, le Caudard est un jeune homme érectile ».
Donc, pour patienter, quoi de mieux qu’un beau boeuf ?
AK Pô
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