Petite pensée pour René Fallet, rencontré (virtuellement) à Sète, en compagnie de Georges Brassens et d’autres copains, le mois de mai dernier…
Fête des mères oblige, tous les petits canards, les vieux pigeons et les oies blanches, de guinée, bernaches, cendrées, rieuses, du Capitole, d’Egypte, des neiges, domestiques (…) s’attableront en ce dimanche au bord de l’eau pour festoyer en regardant la mer monter, ou descendre les escaliers.
Quant aux mères de la place de Mai , souhaitons qu’elles retrouveront un jour la trace de leurs petits, disparus depuis plus de trente ans, pour enfin mourir en paix. Car rien n’est plus cruel que la disparition d’un être cher dont on n’a jamais retrouvé le corps.
La reine d’Angleterre fait la une du (beau) Monde cet an-ci. Petit tour sur les bords de la Tamise, donc !
« deux hommes qui tentaient de charger à bord d’un train un cadavre dissimulé dans un canapé ont été arrêtés par la police polonaise. Le macchabée en décomposition avancée est tombé du clic-clac sous les yeux des cheminots de la gare de Lslupzk. L’affaire est entre les mainns de la justice. Curieusement, le défunt était mort de mort naturelle, note la chaîne d’information TVN24. »
Souhaitons que les épouses de ces deux zigotos ne fassent pas dégringoler un polichinelle de leurs tiroirs, en gare de Lslupzk…
L’Italie est la mater dolorosa de l’Europe, avec ses tremblements de terre répétitifs et toujours aussi dévastateurs ( Frioul, Marches, Abruzzes, Emilie Romagne…). L’Aquila ne s’est pas redressée et Modène tombe à son tour. 400 000 meules de parmesan, le vinaigre balsamique, les vies humaines et les bâtiments détruits, une économie régionale qui s’effondre pour des années, et aura de graves conséquences sur le pays entier. C’est dans cette période malheureuse que deux artistes, Antonio Garullo et Mario Ottocento, exposent à Rome une oeuvre polémique, « le rêve des italiens », mettant en scène le célèbre ténor qui déclara voici trois ans, ( concernant le séisme des Abruzzes):
« les sinistrés du séisme italien doivent « prendre ça comme un week-end en camping ».
Beaucoup campent encore…
Quand je pense que j’ai tenu deux heures la pause alors que l’envie de te voler le crayon me tarabustait ! En plus, c’est même pas moi, c’est le voisin que tu as dessiné. Enfin, je pense. Le voisin, on ne le voit jamais.
Chinette :- » la voisine non plus, Chinou, j’te ferais dire ! »
Cessons là, ma Tendre, ma langue va tomber dans les spaghettis bolognaise.
André Frédérique étant entrain de rédiger son testament en sirotant quelques bouteilles de vin de Loire (en compagnie de Jean Carmet et de Géo L’Hoir), qu’il me soit permis, pour l’instant, de ne pas les encourager à écrire quelques turpitudes aux gens de la Cerce, « terre élue des ringards, province hantée par les cerceux, les cacoches, les vivantes ribondes. » Le Cerceux étant également, comme chacun sait, le « langage de la cerce toujours en état de gestation « la Cacoche est une Cerceuse préménopausique, le Caudard est un jeune homme érectile ».
Donc, pour patienter, quoi de mieux qu’un beau boeuf ?
AK Pô
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