les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Quelques images magnifiques et un interview intelligent sur l’art hors galeries (le rapport de l’artiste et de la gratuité donnée au public).
http://yesgaston.fr/la-plus-grande-expo-street-art-a-paris/
Pour une approche très intéressante , ce blog lui-même toujours intéressant (bis repetita placent) : http://peccadille.wordpress.com/2013/10/05/la-tour-xiii-paris/
Sympa mais je ne dors pas dans la tour… Trop de couleurs agressives. A quoi bon ?
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le rouge est une couleur chaude . Et les graphismes sont superbes. Ce qui manque sans doute au street art, c’est l’épaisseur, la touche imperceptible, dans le sens du travail au couteau, à l’huile, des superpositions de peinture, tout ce qui fait l’attrait des Cézanne, Soutine, Renoir, van Dongen, et Jean Pass (hum). Ce qui manque à l' »épaisseur » se compense par la perspective, souvent parfaitement idéalisée ou presque maîtrisée, par le relief visuel qui argumente au-delà de la platitude pour la rendre grandiloquente parfois, émergente et profonde dans les peintures les plus admirables. Et le principal, c’est l’émergence dans le regard du spectateur d’un étonnement qui habille le quotidien de ce que nous perdons un peu plus chaque jour : l’imagination et son fil conducteur : la liberté d’expression.
(résumé rapide)
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