Une petite mort sensuelle, aérienne, par Sylvie Guillem et Massimo Murru

Comme on aimerait s’envoler dans ces bras-là, dans ces mouvements somptueux, dans cette danse dense d’anses et pleine…de vie!

 

Bon, ne me compliquez pas la vie, hein :

 Changeling

Lisez l’article sur France Culture (et allez-y si vous pouvez)

photo : Changeling Crédits : Richard Lutledge

 

3 commentaires sur “Une petite mort sensuelle, aérienne, par Sylvie Guillem et Massimo Murru

  1. Les geste sont très beaux, gracieux, gracile, aériens, duveteux etc. mais : je n’aime pas ces corps noueux qui ressemblent à des « écorchés », donc : en collants noirs sur un fond clair, ça le ferait mieux, je trouve… ceci n’engageant que mon goût de la grâce… et hop ! un petit entrechat par-ci !
    Bonne soirée cher ami des chats !

    J’aime

    • Sans être (loin de là) spécialiste, je pense que la pseudo-nudité des corps met en valeur tout ce qui stimule la beauté même des corps en mouvement. Il faut faire abstraction du costume,, et entrer simplement dans la beauté des chorégraphies, de la musique, du rythme et avant tout du professionnalisme de ces artistes qui nous font partager la magie d’un spectacle, par l’éveil de nos imaginaires, y compris dans le cas (comme le mien) où l’on ne sait pourquoi cette magie s’opère. La danse est un vaste territoire, qu’elle soit classique de salon ou dite contemporaine.
      Ceci est un message de la troupe des Raminagrobis, qui militent pour la réintroduction des petits rats d’opéra dans les campagnes!
      Bonne soirée!

      Aimé par 1 personne

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