Désolé les petits gourmands, mais…

Hélas, trois fois hélas! notre cargaison d’œufs de l’île de Pâques qui transitait par Saint Pierre et Miquelon n’a pu être acheminée vers la métropole pour cause de Coronavirus.

Les œufs sont soumis à un confinement sévère de quarante jours, alors tant pis pour vous, d’ailleurs vous n’avez pas été sages ni respecté les gestes barrières !

Pour compenser votre manque de chocolat, vous pouvez toujours sucer des citrons, c’est bon pour la santé !

Joyeuses Pâques !

4 commentaires sur “Désolé les petits gourmands, mais…

  1. Oh le bel arbre en fleurs!
    M’en fous pour les oeufs j’ai les miens de chez la dame du marché, tout crottés et pas un seul de la même taille que les autres ce qui est très pratique pour la cuisson des oeufs coques, t’en as 3 pas cuits et 2 durs, le sixième à la coque mais tu sais jamais si t’auras la chance de tomber dessus.
    Joyeuses Pâques!

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    • L’arbre, c’est un cerisier (pas besoin d’aller au Japon admirer les sakuras). Mais question abeilles pollinisatrices, hier soir j’en ai vu trois maigrichonnes. Je vais y retourner vers seize heures pour refaire un décompte rapide. C’est dire quand même que nous sommes bien en deçà de ce que devrait être la vie dite normale, avec la nature environnante. Qu’il devient loin, le temps des cerises chanté durant la Commune de 1871 …
      wikipedia :

      « Des années plus tard, en 1882, Jean Baptiste Clément ajoute un couplet à sa chanson. Il la dédie à une ambulancière rencontrée lors de la Semaine sanglante, alors qu’il combattait en compagnie d’une vingtaine d’hommes dont Eugène Varlin, Charles Ferdinand Gambon et Théophile Ferré3 : « À la vaillante citoyenne Louise, l’ambulancière de la rue de la Fontaine-au-Roi, le dimanche 28 mai 1871. » À la fin des paroles, il explicite cette dédicace :

      « Puisque cette chanson a couru les rues, j’ai tenu à la dédier, à titre de souvenir et de sympathie, à une vaillante fille qui, elle aussi, a couru les rues à une époque où il fallait un grand dévouement et un fier courage ! Le fait suivant est de ceux qu’on n’oublie jamais : Le dimanche, 28 mai 1871 […]. Entre onze heures et midi, nous vîmes venir à nous une jeune fille de vingt à vingt-deux ans qui tenait un panier à la main. […] Malgré notre refus motivé de la garder avec nous, elle insista et ne voulut pas nous quitter. Du reste, cinq minutes plus tard, elle nous était utile. Deux de nos camarades tombaient, frappés, l’un, d’une balle dans l’épaule, l’autre au milieu du front… »

      « Nous sûmes seulement qu’elle s’appelait Louise et qu’elle était ouvrière. Naturellement, elle devait être avec les révoltés et les las-de-vivre. Qu’est-elle devenue ? A-t-elle été, avec tant d’autres, fusillée par les Versaillais ? N’était-ce pas à cette héroïne obscure que je devais dédier la chanson la plus populaire de toutes celles que contient ce volume ? »

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