les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
La fulgurance des mots sur l’abandon des corps
Cette faim inouïe que l’on pensait encore
N’être assouvie que par de moindres morts
A nouveau se présente, nue, dure tel un coffre-fort
Dans mon lit de fortune, aux plis en contreforts
Qui racontent l’histoire de bandits peu raccords
Qui pour quelques billets sur les quais trafiquent gare du Nord
On ne sait plus quelles vies, dans ces pays que le froid mord
Chaque hiver plus glacial qu’un igloo plongé dans l’eau des fjords
Et je la réchauffais pour qu’elle et moi vivions en plein accord,
Mais entre mes bras la banquise a fondu, et ces décors
Que l’on voyait briller en de belles images pleines de réconfort
Ont sombré dans la fulgurance d’un monde surfait dans lequel tu t’endors.
18 06 2021
AK
Nous sommes d’accord,
tu as fait fort !
Et sans accord,
la fonte des neiges des fjords,
pourrait des humains signer la mort.
Bonne soirée, illustre KArouge.
J’aimeAimé par 1 personne
Bon, je vais partir chez Cabrel, à Astaffort,
tant que ça continue encore et encore !
J’aimeAimé par 1 personne
Un p’tit gars de chez toi, Cabrel, non ?
J’aimeAimé par 1 personne
A 150 km plus au nord…Mais lui raconte moins de conneries que moi ! (heureusement)
J’aimeAimé par 1 personne