les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Publié le 25 juin 2021 par karouge
Une chanson (en fait 2) de Jean Claude Vannier (dans les années 80) que je viens (enfin) de retrouver, et qui trouve encore son actualité avec le projet anti-LGBT d’Orban… Vannier est un auteur compositeur géant dans le monde de la musique, comme chacun sait !
Pour info :
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Trouvé par hasard cette histoire mais j’en ignore l’auteur (avec une tendance à l’attribuer à Henri Gougaud):
« Maintenant tu as atteint l’âge de raison : tu as 7 ans !
Ta parure enchantée a désormais tous ses rubans magiques. À chacun de tes anniversaires tu trouveras à ton réveil un voile d’une couleur symbolique différente chaque année.
– « Voici ton premier voile Amaïa ! Tu t’en pareras en cas de besoin. Il est blanc : la non-couleur, qui offre tous les possibles, c’est le concentré des 7 couleurs de l’arc en ciel. C’est le plus précieux (des voiles, des concentrés?) car il est universel et a tous les pouvoirs, mais attention tu ne pourras l’utiliser qu’une seule fois. »
La fée disparut dans un voile de brume fleurant le lys blanc.
Amaïa se redressa et partit guillerette vers son village.
—————- j’arrête ici , je suppose que tu vas développer ce qui suit, oui oui oui!—–
Le deuxième voile était curieux pour une petit fille : noir… afin d’absorber les soucis et les difficultés qui d’expériences en expériences étaient constructeurs.
Le troisième éclatait de jaune comme le blé du pain quotidien nourricier.
Le quatrième fut rose : la couleur de l’enfance toujours présente en soi, toute la vie afin de reculer le moment de se sentir prêt à se préparer à la mort.
Le cinquième prit la couleur bleu d’un ciel d’été et d’espoir.
Le suivant brillait, orange, en allégorie de l’amour.
le septième en fils d’or très précieux lui permit de comprendre que le plus important n’est pas la richesse matérielle.
Ce que ne dit pas alors la généreuse « sorcière », c’est qu’elle lui faisait don de 7 autres voiles eux aussi invisibles même pour Amaïa. Cette dernière aurait à surmonter 7 épreuves et elle verrait alors sa tenue se compléter avec des couleurs complémentaires harmonieuses et favorisant la mise en valeur des couleurs originelles.
Le jour de ses 14 ans elle devint une femme. Elle crut nécessaire de séparer de ses rubans et voiles. Elle les enferma dans un coffre et en jeta la clé. Elle remisa le coffre dans une pièce où dormaient les objets cassés ou usés.
J’ai mon arc en ciel en moi dit Amaïa, tout cela m’est inutile.
Elle vécu en jeune fille ordinaire durant 7 longues années. Elle s’ennuyait, était morose et allait vêtu de vêtements ordinaires choisis pour ne pas être salissants. Sa jovialité s’était évanouie. Elle passait pour inintéressante ! »
Catégorie: Les petits AK Potes, métamorphoses du temps qui passe
Y en pas pas que ça fait réfléchir, surtout en ce moment, chez nous ?
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Là, tu me poses une colle ! (je mets hors de propos les QQ blancs du KKK-RN, qui mènent leur danse macabre depuis des siècles tant en EU, au Maghreb, aux US, et chez mon arrière-grandmère, qui vendait des esquimaux dans les salles de cinéma -cf strange fruit- ) 🙄
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