les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Mes maux se sont ouverts sur l’univers des mots
Tout comme le poisson sur celui des filets
J’ai subi la frayeur et aimé ces pêcheurs
Qui tutoyaient les vagues les mordaient
Avec leurs dents d’écume, leur salive iodée
Je ne me souviens plus qui riait le plus fort
Le vent balayait tout et la pluie torrentielle
Sous ce climat infirme invitant chaque geste
De son balai vaudou à résister aux maux,
Je ne sais comment devant tant de misères
Parfois nous éclations de rire , souriant aux éclairs,
Découvrant par hasard que nous étions humains
Parmi les gravats d’un monde à reconstruire
Sans faux-semblants, sans opportunisme,
Un monde qui soit perçu comme une réalité
Et pas comme un discours rapiécé de mots
Tout comme le poisson sur celui des filets.
18 08 2021
AK
Le crabe aux pinces bleues, espèce invasive et vorace, prolifère dans les plans d’eau près de Perpignan
Bleu comme Marine et le RN certainement ! Allez, on vous a reconnu, les Aliot-tiques !
Dans les check news de Libération :
Que sait-on de cet «appel à la révolution» le 4 septembre qui prétend être soutenu par l’armée ?
Sortez vos bonnets, phrygiens, il fait froid dans les frigidaires !
Une dernière de la Dépêche :
Un étudiant se lance le défi de passer des vacances dangereuses, il reste bloqué en Afghanistan
« L’étudiant britannique a fait part de son expérience sur les réseaux sociaux et a expliqué ce qu’il avait vu sur place : « J’ai vu vraiment beaucoup de gens morts » explique le jeune homme, qui avoue « avoir pensé que ce voyage serait l’occasion de visiter un pays un peu bizarre, mais là j’ai mentalement touché le fond« , »
Il devrait arrêter ses études, ce petit gars, la connerie n’a besoin d’aucun diplôme !
Commentaires récents