les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
C’est plus que magnifique, et je suis vraiment idiot de ne pas mettre un peu plus d’opéra et de musique classique (en tranchounettes pour ne pas lacer les baskets de ceux et celles qui n’aiment pas ça et vont s’enfuir en courant écouter du heavy metal). Pourtant, qu’est-ce c’est bon !
Allez, sept minutes exceptionnelles sur une musique de Vivaldi !
Chaque fois que j’entends de l’Opéra, ça me rappelle Bianca Castafiore et sa voix capable de casser du verre et de faire fuir les animaux. Un peu comme Assurancetourix, capable de provoquer les orages.
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et Napoléon perçait sous Bonaparte (et non Malaparte, scusi !)
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Je ne vois pas de Napoléon à l’horizon !
Opéra « Griselda » de Vivaldi .
Acte 2 : (cf wikipedia)
Costanza chante ses tourments (elle est fiancée à Gualtiero mais aime Roberto) dans l’aria colorature Agitata da due venti. Griselda retourne à son domicile dans la campagne où elle est poursuivie par le perfide courtisan Ottone, qui est fou amoureux d’elle : c’est lui qui a insidieusement suscité le soulèvement populaire de manière à empêcher son mariage avec Gualtiero. Elle rejette ses avances avec horreur et colère. Gualtiero et sa suite sortent pour aller à la chasse et arrivent à la demeure de Griselda. Gualtiero déjoue une tentative d’Ottone d’enlever Griselda et permet à cette dernière de revenir à la Cour, mais seulement pour y être l’esclave de Costanza.
Pour Malaparte, un bouquin à lire : « la peau ».
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