les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Sur la mappemonde de tes fessesTant de tsunamis ont infléchi mes ondesQu’entre tes seins ronds ma paresseEnfin s’ouvre au sommeil , à la vie vagabondeCertes il est loin le temps des plaisirs printaniersDes culottes oubliées auprès des vieux cyprèsEt ce petit bourgeon qu’entre tes cuissesParfumées de suint, d’urine et de sueursTu me livrais à domicile, à l’ancre de tes cilsDe nos rires imbéciles et de nos peaux docilesAh oui je me souviens de ces matins fertilesOù cultiver tes reins moissonnait mes récoltesJe me souviens aussi de cet aventurierDe sa peau tendre et bronzée, de son sexe élégantQui me fit miroiter dans un alcool trop fortUn tas de vérités d’amours universelles, boireCette eau de mer dont on paiera plus tardLa facture salée, mais que de découvertesSur la mappemonde de ses fessesTant de tsunamis de tendresse et d’abandonsDe slips jetés à la pointe des quais, salés, sucrés,Ah oui je me souviens de ces matins fertilesDe nos rires imbéciles et de nos peaux dociles.AK17 04 19
….vint rafraîchir les souvenir d’un présent encore joueur.
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les (faux) souvenirs sont désormais plus près des cyprès que des quais salés sucrés! 😊
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Tant qu’il y a de la sève en l’homme, les cyprès n’approchent pas près de lui…
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Quand les vieilles affaires de galanterie remontent à la surface, un tsunami de souvenirs viennent rafraîchir les plaisirs du passé dans un présent
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