demain voyage dans la traversée des terres qui nous résident. Un espace étonnant, multiple, différent, et pourtant régi par une seule règle : vivre ensemble, et par tous temps.
Traverser un pays du sud au nord. Et retour. L’image sera-t-elle la même ?
Les jeux Paralympiques ne font pas la Une de l’actualité. Pourtant, des sportifs exemplaires participent aux épreuves, et…gagnent à se faire connaître.
Ce petit billet pour le rappeler. et saluer le cumul de victoires d’Assia El Hannouni
A Londres, Assia El Hannouni complète sa collection. Déjà sextuple championne paralympique, après quatre médailles d’or décrochées à Athènes en 2004 (100m, 200m, 400m et 800m), et deux supplémentaires à Pékin en 2008 (200m, 400m), la Française s’est imposée mardi soir sur le tour de piste en 55 sec 39/100es. «Je suis très heureuse de ma victoire, mais pas de mon chrono. Il y avait trop de vent dans le stade et j’aurais peut-être pu faire mieux sans. Mon objectif est désormais l’or sur 200m», a-t-elle déclaré à l’issue de sa course. Car l’athlète de 31 ans, également médaillée d’argent sur 800m et 1500m il y a quatre ans et championne du monde en titre du 200m et du 400m, a encore deux occasions d’étoffer son impressionnant palmarès, avec le 100m et le 200m. (extrait de l’article paru dans 20 minutes.fr dont le lien est ci-dessus)
Si vous avez l’occasion de vous rendre à Düsseldorf entre septembre et janvier, ne manquez pas l’expo de ce photographe (le plus cher du monde, est-il écrit dans le magazine « Photo »). Bien entendu, personne ne se rend à Düsseldorf durant cette période, c’est bien connu ! Bande de fainéants !
Eh bien, il ne vous reste plus qu’à consulter le lien qui fait clic clac.
Ou à allumer la télé. Ou à tondre la pelouse, brosser le cheval, finir de fendre le bois, faire le ménage, être gentil avec Chinette ( et/ou Chinou), préparer votre budget hiver au chaud, aller vendre des bruschette sur la place Clémenceau ou la piazza del Popolo, bref, oubliez tout pour ne plus penser à lui, le célèbre Andréas Gursky.
Casons les gosses et autres bouts de chou et filons prendre quelques vacances !
Mais plutôt à pied qu’en vélo : on risquerait un PV, avec les nouveaux radars pour vélos ! (entendu sur FR3 et relayé sur ce blog)
Ca va craindre pour les valisettes à roulettes, Chinette !
l’Etat vole au secours du Crédit Immobilier de France, apprend-t-on dans le Monde de ce jour. Une petite balade s’impose, avec un léger goût de vertige…
Article paru dans « Courrier International » n°1139 sous le titre « une utopie anti-crise en Andalousie ». A parcourir ici.
Tapis de fleurs rouges pétaradantes pour cette librairie sise à Banon, dans les Hautes Alpes (entendu sur France Culture), qui est la septième de France pour son chiffre d’affaire et le nombre de volumes qu’elle détient (190 000, semble-t-il, environ). Voilà un lieu où l’on peut trouver des bouquins certainement très rares, très beaux et pas plus chers qu’en grandes surfaces. Le tout, c’est d’aller jusqu’à Banon. L’été prochain, ce sera bien, le temps de lire tous ceux qui sont à la maison…
extrait de l’article (lien ci-dessus) :
« GdF : Combien vendez vous de livres par jour ?
Joël Gattefossé : En hiver, les gens font 100 Km pour venir au Bleuet, en été le rayon de chalandise est illimité et la clientèle bien plus nombreuse. En 2009, nous sommes à une moyenne de 415 livres journaliers mais au mois d’août, nous vendons 940 ouvrages par jour. Tout cela se fait grâce au bouche à oreille et au suivi constant de la presse française et étrangère. Aujourd’hui, j’ai réussi à créer un lieu qui me ressemble, où l’on est bien, au calme. Mais je veux continuer à développer ma librairie. En 2015, le Bleuet sera la première librairie de France du point de vue du fond littéraire, devant Gibert à Paris. Pour ça, il faut multiplier le nombre de titres par trois. J’ai cette envie. En dehors de mon travail, j’habite à l’extérieur du village, dans la colline. Aujourd’hui, je suis de Banon. Qu’est-ce que je peux avoir de plus ? »
Les temps sont durs, la rentrée approche et les voitures font la queue leu leu dans tous les ronds points de la ville. Heureusement pour Chinette et moi, nous habitons un endroit où il n’y a pas un chat. Enfin, si, le nôtre. Actuellement il s’entraîne pour les jeux para-olympiques des animaux escagassés par la circulation automobile. C’est fou le nombre d’animaux athlètes que comptent ces jeux : hérissons, buses, sangliers, martres, blaireaux, chiens, chats, hulottes de cheval, ragondins, passereaux en tous genres, biches…
Je sens qu’on va encore compter les médailles, Chinette !
Lu dans Sud Ouest cet article qui fait un peu de peine pour ce type (mais il y a pire, comme la « tomatina« , dans le genre connerie humaine). Le type dont il est question (David Glasheen) vit depuis des lustres sur une île, sans enquiquiner personne, mais il va être viré, suite à un contrat non tenu avec l’état australien, contrat on ne peut plus farfelu. Enfin, il suffit de lire l’article…
Un centre d’hébergement a ouvert ses portes et fenêtres pour accueillir ce naufragé. A condition qu’il trouve le moyen d’arriver à Saint Sébastien( à la nage, vues ses finances à sec). Bon courage, et gare aux requins !
Voici le centième petit article du petit karouge , mais celui-ci aura la particularité de ne parler de rien ni de dire du mal de personne. C’est dur, mais Chinette et Chinou ont autre chose à faire que de se disputer en face de leurs lecteurs. D’accord, mais ça mettrait un peu d’ambiance.
Au lecteur qui vient de dire ça : gare à tes fesses, demain, on dira tout sur ton compte, et tu ne feras plus le fier, pas vrai, Chinette ?
Pour sûr, mon Chinounet !
A demain, donc !
Commentaires récents