Le mois d’août ne finira donc jamais?

Pendant que la jeunesse rigole bien planquée derrière les vitres, avec la clim qui marche à bloc, nous, les pauvres citadins qui devons faire nos courses à pied, avec le petit caddy pliant et le vieux chien chien de mémère, on sue et on ne transpire pas l’allégresse,  pas vrai, On ?

« – ouarf ouarf !

« – comme tu dis, mon toutou; mais si t’en vois un sortir du café, n’hésite pas à lui montrer tes crocs !

« – ouarf ouarf ! »

Et ainsi de suite. Que c’est nul, de vieillir au mois d’août, Chinette !

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