Tant qu’il y aura plus de femmes que de chinois, il y aura moins de désespoir(s)

Après le visionnage du reportage sur ARTE,  « quand la Chine délocalise en Europe »

La seule envie qui vient est de s’envoler dans une fusée Soyouz, ou de creuser un trou bien profond dans la banquise pour y vivre avec les ours et les otaries. Avec de tels personnages à la tête du monde, rire jaune est plus qu’une simple expression, mais heureusement, comme l’a déclaré le chanteur Arno (sur France Culture, entre seize et dix sept heures) à la responsable de l’émission : « tant qu’il y aura plus de femmes que de chinois… » (et d’hommes, pour les femmes peinées)

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