les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Un article de « Libération » pose la question : http://next.liberation.fr/arts/2014/09/20/jerome-catz-le-street-art-fait-partie-du-patrimoine_1104005?xtor=EPR-450206&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=quot
Une question à laquelle on peut répondre de mille façons, à condition de taper dedans (en visant la cible). En fin d’article, cette phrase : Le jour où il n’y aura plus de rébellion, la société sera morte. Mais la société n’est-elle pas déjà morte, et la rébellion dès lors a-t-elle encore un sens ? N’est-ce pas la valeur purement artistique qui prime désormais, et l’imaginaire qui devient un spectacle de moins en moins créatif ?
Chi lo sa ?
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