les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Plus d’un mois après que le hasard nous mène à saint Sever de Rustan, bon petit resto sur place, le vieux père roupillait tranquille. Il est bon souvent d’observer la joie, la flemme et l’entregent des animaux pour que notre ressenti soit ad minima « plausible ». Serions-nous heureux sans eux et de quelle manière ?
De retour au « Petit Paradis », les chats (4+ Trois pattes et Mirabelle) folatraient dans le jardin, montant aux arbres, se poursuivant, simulant de fausses agressions. Sous le chant des oiseaux, qui piaillaient dans les branches.
Qui serions-nous, en leur absence, Chinou ?
De la merde, Chinette, de la merde.

Commentaires récents