le petit karouge illustré
les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Pierre Louis Giannerini, photographe
Voici un homme qui sait photographier sa ville avec amour, délicatesse et professionnalisme. Il en ressort des aspects lumineux, magiques, superbement mis en valeur, au gré du temps et des saisons. Oloron sainte Marie, sous préfecture plantée au pied de la vallée d’Aspe, se révèle sous les images de PLG, changeante, accorte, ombrageuse, bien au-delà des clichés (!) et des limites territoriales encloses de panneautages bilingues. On peut photographier éternellement Oloron, aucune image ne ressemblera à une autre déjà prise, tout comme il en va avec la vie, quand on l’aime et qu’on la partage avec bonheur et simplicité.
A noter que Pierre Louis Giannerini est professeur d’Histoire, conférencier, de son métier (mais je n’en suis pas sûr):
http://www.alternatives-paloises.com/article.php3?id_article=4991
contact e-mail : pierre-louis.giannerini@orange.fr (donnée se trouvant dans l’album placé en en-tête de cet article)
Découvert également, en recherchant des éléments sur PLG, ce petit blog sympathique et non dénué d’intérêt : http://www.lydiabonnaventure.com/
ballons de plumes, ballons de plombs
Et voilà, ça devait arriver ! s’envoyer en l’air avec une Mongole fière, ou amuser les enfants avec un lâcher de ballon et son petit message accroché au bout de la ficelle, c’est terminé, na !
C’est du moins ce que relate cet article du Monde :
En avant la musica, pépé Mujica ! (président de l’Uruguay)
A lire, cet article à la Une de Courrier International de cette semaine (on peut aussi lire TOUT CI!)
http://www.courrierinternational.com/article/2012/11/28/uruguay-le-vrai-president-normal
les (riches) chinois aiment le rouge : entre le voir et le boire, au milieu l’amertume de Chinette
Encore un grand cru du bordelais acheté par un « investisseur » chinois…
« Le nouveau propriétaire se nomme « Monsieur Wang, un riche industriel de 45 ans possédant 1% des minerais de fer en Chine et spécialisé dans son extraction », précise Terres de vin. »
La carte que déploie Sud Ouest dans son article commence à ressembler à celle du mitage des colonies israéliennes en Palestine.
Bon, les chinois sont aussi dans les vignes du Madiran, et certainement pas loin des collines du Jurançonnais…
Il restera les vins australiens, sud et nord américains, à défaut de bon Valdepeñas (conservé dans une outre chez Don Quichotte, au sud de Tolède).
Ah! comme dit mon pote Li Pong : « La plus courte vie a des siècles de douleur. »
Citation chinoise ; Livre des proverbes de Chine – IVe s. av. J.-C. »
Article de Sud Ouest : http://www.sudouest.fr/2012/11/28/vin-un-grand-cru-classe-de-saint-emilion-rachete-par-un-chinois-892873-713.php
Tirana, capitale de l’Albanie
Pays dont on n’entend pour ainsi dire jamais parler, qui fut un des états d’Europe les plus fermés dans son communisme médiéval, patrie d’Ismaël Kadaré (En 1972, nommé député albanais sans même l’avoir demandé, il est contraint d’adhérer au Parti communiste albanais (parti gouvernemental). Il n’en continue pas moins sa lutte constante contre le totalitarisme. Entré en disgrâce pour ses écrits considérés comme subversifs envers le régime, il est contraint de publier ses romans à l’étranger pour finalement s’exiler. Il obtiendra ainsi l’asile politique en France en octobre 1990.) -source Wikipédia-, l’Albanie reste, comme la Moldavie par exemple, un pays méconnu.
Cette année, cependant, ce pays fête ses 100 ans d’indépendance. Cela étant l’occasion d’organiser de grandes fêtes…
« C’est à Tirana, la capitale albanaise, qu’aura lieu le point d’orgue des cérémonies, ponctuées par de nombreuses initiatives – parfois insolites – visant à renforcer la fibre patriotique, comme la confection d’un gâteau de treize tonnes à l’effigie de l’aigle bicéphale, la peinture d’un drapeau géant portant le même symbole le long de « l’autoroute de la Nation » reliant l’Albanie au Kosovo, ou encore le sacrifice de quelque 2000 moutons lors d’un méchoui en plein air le 28 novembre. » (extrait de l’article paru dans Courrier International , voir ci-dessous).
Bon, pour ceux et celles qui voudraient aller déguster un bon méchoui le 28, quelques conseils : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/conseils-aux-voyageurs/conseils-par-pays/albanie-12194/
Article de CI : http://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2012/11/28/les-reves-de-grandeur-des-albanais
Philippe Léotard…le soir
Quand j’avais 7 ans, j’etais a Lyon dans un Resto avec ma famille, et une dame qui vendait des roses m’en avait donne une abimee qu’elle n’aurait pas reussi a vendre. Quelques minutes plus tard, alors que je jouait avec d’autres enfants dans la rue, avec ma rose, un homme est venu me demander si il pouvait me l’acheter car il voulait la donner a une femme dont il etait fout amoureux. Il m’a donne 100F et un CD avec sa tete sur la pochette, et il parti… C’est homme etait Philippe Leotard!
(un commentaire qui fait suite à la chanson suivante : http://www.youtube.com/watch?v=1LIpWAg-x-s&feature=fvwrel)
l’apocalypse selon Jean Yanne, ce bien en chair disparu
Ce qui se passe en politique ne manque d’évoquer le titre de ce bouquin dont la photo illustre ces quelques mots.
« J’en connais qui seraient capables de tuer pour avoir le prix Nobel de la paix »
enfin, des vertes et des bien mûres,
La Palestine aux portes de l’ONU
l’accession de la Palestine au statut d’état non membre de l’ONU, (vote prévu le 29 novembre), se joue ces temps-ci. Cette accession permettrait notamment à la Palestine d’être reconnue comme un état à part entière, ce qui modifierait énormément la donne sur bon nombre de sujets.
A lire sur le sujet :
http://www.oxfam.org/sites/www.oxfam.org/files/bp160-jordan-valley-settlements-050712-fr.pdf
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salon du Livre : Chinette et Chinou vous conseillent vivement « KAROO », de Steve Tesich (1942-1996)
Excellent bouquin de 600 pages (22 E) qui se laisse lire sans éveiller de cauchemars ni de regrets.
A paru aux éditions monsieur Toussaint Louverture , une petite maison qui publie d’excellents auteurs peu connus du grand public (pour l’instant).
« Souvent drôle, voire très drôle, souvent triste, voire poignant, ce livre est à mille lieues des romans américains trop calibrés qui fleurissent ces derniers temps. » (Stanislas Rigot, Librairie Lamartine)
« Un cocktail détonnant de cynisme assumé et la grâce d’une écriture absolument géniale ! » (Jean François Delapré, Librairie Saint Christophe)
A commander sur internet avant épuisement du stock !
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le petit karouge illustré 
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