La fin du début
Publié le 13 mars 2020
par karouge
2 commentaires
Le Dieu américain empêcha tous les anges de voler par peur qu’ils soient contaminés par l’autre Satan (pas le grand roupillant en Iran) mais celui qui faisait désormais la nouba en Europe (une partouze à 27, mais les anglais(e)s sont si moches et les irlandais(es) trop cathos pour y participer). Le monde et l’immonde enfin réunis dans la nanosphère d’un virus ravageur de cervelles…
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Combattre sans se battre
Ceux qui craignent l’avenir
Bâtissent des monuments
Qu’à un moment ou l’autre
L’Histoire effacera, c’est la loi
Des hommes des pavés et des pierres
Quand le sable et les cendres mêlés
Ne tracent plus le chemin
L’homme puise en lui l’eau de vie
Et sur le sel des larmes
Le goût si violent de ses peurs
Surgit de nouveau
Sur la margelle du plaisir
L’homme qui avait soif boit
L’avenir devient son présent
Et il s’étonne alors d’être vivant
Entre les pavés les pierres
Le sable et les cendres mêlées,
Juste et si étonnement vivant.
11 03 2020
AK
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Il est terrifique ce dieu américain qui se trompe tout le temps !
Sinon, c’est un beau texte que tu nous a écrit là.
Bonne soirée à toi.
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Tous ces dieux ridicules ne sont que la forme ultime de l’imbécillité humaine. Aucune solidarité, juste des idiots qui cumulent de quoi se torcher le cul et manger des pâtes midi et soir, voilà bien comment réagit la société d’obèses décervelés qui peuplent nos sociétés « modernes ». Quand vont-ils aller piller les Mac Do, les pizzas huit etc et manger crues les frites? Le coronavirus risque d’amputer vos doigts de pieds, alors ruez-vous dans les supermarchés acheter cent paires de chaussettes anti-gangrène…
Merci d’apprécier ce texte, dédié en fait à un de mes gosses.
Bonne soirée, Opéra Mundi ! (ça rime avec J-L!)
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