les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Dans l’œil bleu du sarde j’ai lu le montant
De la rançon qu’il me demanderait, bel amant,
Si je ne l’aidais pas à écrire son poème,
A trouver des pieds et des rimes en aime
Je le regardais, penché sur le bureau en chêne
Dérobé d’un navire enferré dans ses chaînes
La plume était joyeuse, son crâne dégarni,
Il écrivait sa vie usée dans de nombreux garnis
Sans proches ni amis il m’avait trouvée là
Dans cet immeuble sale où la vie en à-plats
Peint les murs de misère et les enfants de rires
Comme j’étais des leurs, que je savais écrire,
Il a pris mon oreille et s’est mis à pleurer.
Écoute-moi petite, toi qui ne sais où demeurer
Je t’offre mon palais de vieilles pierres rugueuses
A une condition : que mon poème te rende heureuse.
29 07 2020
J’aime ce poème
Est-ce un crime ?
Si je mets Crème,
En tant que rime ?
Bonne journée, illustre Karouge.
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Malgré qu’il fasse chaud
Ton commentaire me chaut !
Bonne soirée Maëstro!
Ici, à 20h encore 30°C….
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Pareil dans les Hauts de France ! La chaleur est extressive !
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C’est normal, la chaleur monte et le froid descend…lentement, lentement.
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