les babillages de Chinette, les coloriages de Chinou
Cet hymne pacifiste et utopique, invite l’auditeur à imaginer un monde sans frontières, sans pays, sans religions, sans raisons de tuer ou de mourir pour une cause, sans possessions, et au sein d’une grande fraternité humaine (source : wikipedia)
https://www.lacoccinelle.net/243444-john-lennon-imagine.html
Imagine
(Imagine)
Imagine there’s no heaven,
Imagine qu’il n’y a aucun paradis,
It’s easy if you try,
C’est facile si tu essaies,
No hell below us,
Aucun enfer en-dessous de nous,
Above us only sky,
Au dessus de nous, seulement le ciel,
Imagine all the people,
Imagine tous les gens,
Living for today…
Vivant dans le présent…
Imagine there’s no countries,
Imagine qu’il n’y ait pas de pays,
It isn’t hard to do,
Ce n’est pas dur à faire,
Nothing to kill or die for,
Rien à tuer ou pour lequel mourir,
No religion too,
Pas de religion non plus,
Imagine all the people,
Imagine tous les gens,
Living life in peace…
Vivant leur vie en paix…
You may say I’m a dreamer,
Tu peux dire que je suis un rêveur,
But I’m not the only one,
Mais je ne suis pas le seul,
I hope some day you’ll join us,
J’espère qu’un jour tu nous rejoindras,
And the world will live as one.
Et que le monde vivra uni.
Imagine no possessions,
Imagine aucune possession,
I wonder if you can,
Je me demande si tu le peux,
No need for greed or hunger,
Aucun besoin d’avidité ou de faim,
A brotherhood of man,
Une fraternité humaine,
Imagine all the people,
Imagine tous les gens,
Sharing all the world…
Se partageant le monde…
You may say I’m a dreamer,
Tu peux dire que je suis un rêveur,
But I’m not the only one,
Mais je ne suis pas le seul,
I hope some day you’ll join us,
J’espère qu’un jour tu nous rejoindras,
And the world will live as one.
Et que le monde vivra uni.
Tout laisse à croire, hélas, que nous n’en prenons pas la direction, mais l’opposée : celle des guerres permanentes et meurtrières.
« La nuit d’avant, on avait vu le grand départ de tous les hommes. C’était une épaisse nuit d’août qui sentait le blé et la sueur de cheval. Les attelages étaient là dans la cour de la gare. Les gros traîneurs de charrues on les avait attachés dans les brancards des charrettes et ils retenaient à pleins reins des chargements de femmes et d’enfants.
Le train doucement s’en alla dans la nuit : il cracha de la braise dans les saules, il prit sa vitesse. Alors les chevaux se mirent à gémir tous ensemble. «
« Le grand troupeau » de Jean Giono
« quatrième de couverture : un réquisitoire contre la guerre ».
À lire, c’est un terrible roman sur la guerre de 14. Donc des autres à venir.
Probablement un des plus beaux titres de John Lennon.
Merci, illustre Karouge.
J’aimeJ’aime
Il n’ira nulle part, sauf peut-être en Hongrie pour narguer les autres pays européens…
J’aimeAimé par 1 personne
Ou en Turquie…Ou en Iran, ou en Syrie, ou à Pandémonium, qui sait ?
Par ailleurs, Budapest est une belle ville. (Si l’on reste dans l’espace dit « touristique »);
J’aimeAimé par 1 personne
C’est un pleutre. Mais à Pandémonium il ira à coup sûr, de gré ou de force ! 🤣😈
J’aimeJ’aime
ce que je préfère dans les guerres ce sont les monuments aux morts, au revoir là-haut !
J’aimeJ’aime
Guerre en Ukraine…
« Le Monde », tout à l’heure : « Mme Colonna (ministre française des affaires étrangères) a aussi appelé les pays européens à respecter leurs obligations et à livrer le chef du Kremlin à la CPI s’il entrait dans l’Union européenne. La Hongrie a dit qu’elle ne livrerait pas M. Poutine. »
Ben, tiens donc !
J’aimeAimé par 1 personne
Les monuments à l’Holodomor ?
J’aimeJ’aime
non !!!! ceux de Lemaitre
J’aimeJ’aime